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Le magazine du Pays des Abers de l’été 2023 fait un focus sur l’île Vierge et ses phares. Et revient sur ma résidence sur l’île Wrac’h l’an dernier et ma trilogie de films Le triangle des feux.

Merci à Julie Le Duff et à Gardien de Phare.

English version by Google

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English version / Versione italiana

Aurélien Bambagioni, né en 1975, artiste et vidéaste, auteur, diplômé de l’École nationale supérieure d’art de Bourges, post-diplôme de l’École supérieure d’art & de design Marseille-Méditerranée.
Enseigne les arts connectés à l’école supérieure d’art de Poitiers (ÉESI, Angoulême-Poitiers).

Vit et travaille à Paris et sur l’île de Groix.
Représenté par la galerie Analix Forever à Genève.

#SquadraDiaspora #27

Actualité

* Expositions

Hable con ella, galerie Analix Forever, commissaire Marta Ponsa mai – juin 2024

Une écologie des images, galerie Analix Forever, Genève, février – mars 2024

Moving Forever, galerie Analix Forever, Genève, décembre 2023

Couples, galerie Analix Forever, Genève, février – avril 2023

** Résidences / Projets en cours

Rome, 2024

Montréal-Québec, 2024

IPPA, île Wrac’h, 2021-2022

*** Films

« L’île artificielle » 2023

« This is Radio Star » 2023

« Le triangle des 🔥 » trilogie, 2022

**** Performances avec la Squadra Diaspora

« Squadra Diaspora contre l’Équipe de France des écrivains » Metz, juin 2024

« RAAL-La Louvière X Squadra Diaspora » Belgique, juin 2023

« Velasca-Diaspora » Biennale de Venise, novembre 2022

***** PublicSpaces

➰ « Comeback IRL #822 », Le Bel Ordinaire, installation extérieure
➰ « L’archipel des sentinelles » Arsenal des mers de Rochefort, installation extérieure

Artiste membre de l’ADAGP. Toute utilisation des œuvres sur ce site doit faire l’objet d’une demande d’autorisation préalable sur www.adagp.fr.

Ce site est un atelier.
En ligne et accessible de partout pour l'artiste, c'est aussi bien son espace de travail qu'un lieu d'archives depuis 1999.

Aurélien Bambagioni a traversé le début des années 2000 en inscrivant sa pratique artistique dans les courants du web et de ses usages.  Depuis lors, il questionne son travail à l'ère de la diffusion numérique, de la mise en réseau des informations et du partage collectif.  Sa pensée est organisée en systèmes cartographiques et propose une hiérarchisation des formes produites comme enjeu du temps, comme enjeu de l'œuvre elle-même.

Se définissant comme un capteur d’instantanés, il réinvente un Grand Tour aux connexions géographiques totalement dispersées et augmentées en rapprochant sa pratique artistique de ses expériences sportives, ludiques, journalistiques ou touristiques. Explorant ainsi la relation complexe entre l’homme et son environnement, en mettant en lumière les défis de la modernité face à la puissance de la nature.

En intégrant des éléments de récit et d’anticipation dans ses films, via le montage et l’ajout de textes mêlant topographie, histoire et relation personnelle à un lieu, une figure ou un évènement, Aurélien Bambagioni tente de susciter une réflexion sur la fragilité et la résilience de ces éléments face notamment aux changements climatiques et à l’obsolescence.
Il filme ou photographie le ciel et la mer comme on fixe un horizon pour fuir les pensées du quotidien, pour révéler ce droit pour tout un chacun d’avoir un accès à une vue dégagée, propre à la rêverie et à la contemplation.

Aurélien Bambagioni est régulièrement invité à écrire ou à assurer des commissariats d’expositions.